Nous avons créé le domaine en 2006, reprenant des vignes promises à la coopérative. Il y avait 6 hectares en syrah, grenache et carignan, classiques cépages du Languedoc, installés sur ces galets roulés qui font la particularité du sol, et la richesse de son fruit. C’était prometteur, si l’on acceptait de se relever les manches. Il a fallu reprendre toutes les techniques de culture, corriger la taille, refaire les palissages, procéder à la vendange en vert, diviser les rendements par trois ou quatre sur certaines vignes.
Nous avons ensuite construit sur place notre cave gravitaire en pierres du Gard, un édifice sobre, beau et fonctionnel, qui nous permet de travailler sur mesure. Les vignes nous rendent les efforts que nous lui apportons. Ainsi, elles nous incitent chaque année à respecter scrupuleusement les obligations d’exigence fixées à l’origine de cette aventure. Désormais, nous allons même au-delà, nous étant engagés logiquement en agriculture biologique.
Depuis, le domaine s'est agrandi de 4 hectares en appellation Terrasses du Larzac.
Qui sommes-nous ?
Pour nous, ce domaine est une deuxième vie, après avoir mené des carrières loin de ce monde. Nous vivons sur place, près de Gignac, depuis l’été 2007, après avoir piloté le domaine à distance de Paris, où nous avions d’abord conservé nos emplois. Mais l’aboutissement de cette expérience autant que sa rationalisation passait par une installation sur les lieux.
Ainsi, l’exercice de notre activité est plus cohérente. Nicole poursuit son activité au Conseil Départemental de l’Hérault. Jean-Yves se consacre au domaine, après avoir réalisé toute sa carrière comme journaliste à la radio, et longtemps assuré la présentation d’une émission de jazz sur RTL. D’ailleurs, le jazz et le vin sont bien assortis…
Pour nous, ce domaine est une deuxième vie, après avoir mené des carrières loin de ce monde. Nous vivons sur place, près de Gignac, depuis l’été 2007, après avoir piloté le domaine à distance de Paris, où nous avions d’abord conservé nos emplois. Mais l’aboutissement de cette expérience autant que sa rationalisation passait par une installation sur les lieux.
Ainsi, l’exercice de notre activité est plus cohérente. Nicole poursuit son activité au Conseil Départemental de l’Hérault. Jean-Yves se consacre au domaine, après avoir réalisé toute sa carrière comme journaliste à la radio, et longtemps assuré la présentation d’une émission de jazz sur RTL. D’ailleurs, le jazz et le vin sont bien assortis…
Localisation
Le domaine des « Chemins de Carabote » se situe à 35 kilomètres à l’ouest de Montpellier, entre le village de Saint-André-de-Sangonis et le hameau de Cambous, dans la région d’appellation des « Coteaux du Languedoc-Terrasses du Larzac ». Nous sommes ici au pied du mont Saint-Baudille (884 mètres), visible de très loin, en bordure du massif de la Séranne, et dernier rempart en surplomb nous séparant du plateau du Larzac. Pour peu que l’on essaye de creuser cette terre sévère, chargée de gros galets, la pioche y rencontre aussitôt une furieuse résistance. C’est le paradoxe magique de la vigne : un sol si austère donne le meilleur vin… L’hiver, un vent froid descend du plateau, qui fait frissonner les vignes. Les précipitations peuvent alors être violentes. En revanche, l’été, la chaleur est écrasante et l’eau vient à manquer. Cette grande amplitude thermique détermine l’identité du terroir, ainsi que la puissance et la complexité du vin que fournit celui-ci. Au Moyen Âge, Carabote fut un célèbre moulin sur la rivière l’Hérault. Aujourd’hui, il n’en reste rien, mais un chemin qui longe l’une de nos vignes porte son nom, car il aboutit au site du moulin disparu, d’où les Chemins de Carabote, que vous retrouverez dans des représentations différentes sur l’étiquette de nos vins.
Le domaine des « Chemins de Carabote » se situe à 35 kilomètres à l’ouest de Montpellier, entre le village de Saint-André-de-Sangonis et le hameau de Cambous, dans la région d’appellation des « Coteaux du Languedoc-Terrasses du Larzac ». Nous sommes ici au pied du mont Saint-Baudille (884 mètres), visible de très loin, en bordure du massif de la Séranne, et dernier rempart en surplomb nous séparant du plateau du Larzac. Pour peu que l’on essaye de creuser cette terre sévère, chargée de gros galets, la pioche y rencontre aussitôt une furieuse résistance. C’est le paradoxe magique de la vigne : un sol si austère donne le meilleur vin… L’hiver, un vent froid descend du plateau, qui fait frissonner les vignes. Les précipitations peuvent alors être violentes. En revanche, l’été, la chaleur est écrasante et l’eau vient à manquer. Cette grande amplitude thermique détermine l’identité du terroir, ainsi que la puissance et la complexité du vin que fournit celui-ci. Au Moyen Âge, Carabote fut un célèbre moulin sur la rivière l’Hérault. Aujourd’hui, il n’en reste rien, mais un chemin qui longe l’une de nos vignes porte son nom, car il aboutit au site du moulin disparu, d’où les Chemins de Carabote, que vous retrouverez dans des représentations différentes sur l’étiquette de nos vins.